À tous les êtres authentiques, laissons tomber les masques
Cette année, on commence par… laisser tomber les masques ! Ah, oui tous ces bons masques sociaux ! Ces accessoires invisibles mais ultra-performants que nous portons tous les jours pour plaire, pour nous protéger, ou pour être acceptés. On en a toute une collection.
Le masque du collègue toujours enthousiaste « Oui, bien sûr, je vais refaire ce dossier pour la 3e fois avec un grand sourire forcé ! »
Celui du parent parfait « Non, non, je ne suis absolument pas fatigué de répéter 15 fois la même chose 😁 », ou encore celui du zen absolu « Namasté… » alors que l’envie de hurler et de tout envoyer bouler est bien réelle, celui du « Tout va bien » quand on a envie de pleurer et de crier sa douleur.
Ces masques nous collent à la peau, se fondent dans nos gestes, nos sourires, nos silences. Mais derrière eux, combien d’authenticité sacrifiée ? Combien de vérités étouffées pour le confort des apparences ? Mais soyons honnêtes, porter un masque en permanence, c’est épuisant. Ça gratte, ça glisse, et parfois même… ça tombe au mauvais moment et se brise.
Incarner l’authenticité demande du courage. Celui de parfois déplaire, de déranger, mais surtout celui de s’aimer assez pour arrêter de se cacher.
Alors, laissons tomber les masques. Parce qu’au fond, c’est lorsque nous nous révélons dans notre propre vérité que les rencontres deviennent réelles, que les connexions prennent vie et que notre âme respire enfin.
Et donc ?
Ouiii ! Cette année, finis les « Je suis overbooké » pour se sentir important, alors qu’on est juste collé au canapé devant une série et un plaid.
Fini les sourires forcés ! On opte pour l’authenticité, les rires qui partent en fou rire incontrôlable, les « J’sais pas, mais je vais essayer » sans culpabilité.
On ose montrer nos vrais visages, nos rires spontanés, nos doutes maladroits, nos « je n'ai pas trop envie » sincères.
On ose dire « Non » sans rédiger un roman d’excuses et « Oui » seulement lorsque ça vibre pour de vrai.
Parce que finalement, à bien regarder, c’est tellement plus léger de ne pas en porter. Parce qu’au fond, aucun de nous n’est parfait et c’est tant mieux !
Allez, on respire, on se détend, et surtout… on laisse tomber les masques. Parce qu’après tout, la meilleure version de nous-mêmes, c’est celle qui n’a pas besoin de filtre.