Le manque, ce grand illusionniste.

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Et si le manque n’était qu’une grosse blague cosmique ?

Le manque… ce filou insatiable qui rôde partout, infiltrant nos relations, nos finances, nos émotions. Il s’invite sans prévenir, nous soufflant à l’oreille que rien n’est jamais assez. Mais si tout cela n’était qu’un immense malentendu ?

Le manque, ce filou insatiable

Le manque est ce sentiment rampant, invisible, qui nous prive de paix et de légèreté. Il nous murmure qu’il nous faut plus : plus d’amour, plus d’argent, plus de temps, plus de reconnaissance. Et plus on l’écoute, plus il creuse un trou en nous. Ce manque devient un prisme déformant à travers lequel on perçoit la vie : jamais assez, jamais satisfait.

La peur de manquer nous déconnecte

Cette peur agit comme une voleuse de joie. Elle nous pousse à entrer dans une course effrénée, à frapper plus fort, à encaisser davantage. On devient des combattants d’un monde où il faut prouver sans cesse sa valeur. Elle nous persuade que nous devons tout contrôler, tout maîtriser, comme si notre survie en dépendait. Mais à quel prix ? Celui de notre paix intérieure, de nos valeurs profondes ?

Reprendre le pouvoir

Et si on osait une pause ? Respirer un bon coup. Remettre en question cette pression. Poser une question simple mais puissante :

Ai-je réellement besoin de ce que je crois me manquer ?

Est-ce urgent, ou est-ce mon mental conditionné qui panique pour rien ?

Il est parfois essentiel d’accepter que tout ne dépend pas de nous. Certaines choses prennent du temps. La vie suit son propre tempo, souvent bien plus intelligent que notre mental pressé.

Et si on changeait de paradigme ?

Et si, au lieu d’alimenter le manque, on cultivait la confiance ? Si on remplaçait le doute par l’évidence que ce dont on a besoin viendra en temps voulu ? Et si on troquait la peur pour un amour inébranlable envers la vie, envers nous-mêmes ?

Ce changement de regard peut tout transformer. Car au fond, ce que l’on porte en nous ne peut jamais vraiment nous manquer.

Conclusion

La vie est peut-être bien plus sage que nous ne le croyons. Et si on lui faisait confiance ?

Car ce que nous cherchons si ardemment est souvent déjà là, prêt à se révéler dès que l’on relâche la peur… et que l’on choisit de croire en la magie de l’instant présent.

Cet article a 4 commentaires

  1. Gabriel ENDOUGOU ASSENE

    Le manque est un problème qui joue sur la santé mentale et qui transforme les comportements sur le plan traditionnel, social et humanitaire. Le manque de prise de conscience de l homme peut entraîner les maladies comme l A.v.c, les tensions et autres

  2. Colinette Kamdeu

    Ahhhh le voleur déguisé !!!!! « Le manque »
    Il nous éloigne de nous -même, il crée en nous de l insécurité, nous empêche de se dépouiller afin de découvrir toute la richesse qui est en le nous.
    Merci pour ce texte .

  3. Gabriel ENDOUGOU ASSENE

    Le manque d argent peut entraîner chez l homme la nervosité, l humilité, la peur, l amour, la soumission. Chez la femme, les maladies, la prostitution, l adultère. Mais le sourire peut apporter de la joie , dans le coeur d une personne qui vit le manque

  4. Mballa eyala

    Le manque ce mot fou ce mot d’envie trompeur qui peut entraîner l’humain dans la pire décision de la vie. Faisons vraiment confiance à la vie et nous pouvons gérer cette blague cosmique 🙏.

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